Miss Cayeux, Marie Beaulieu (au centre), entourée, à gauche, de Lætitia Cosaert (1e dauphine) et à droite d'Adeline Trioux, sa 2e dauphine.
Samedi soir se déroulait au casino de Cayeux-sur-Mer la soirée d'élection de Miss Cayeux 2010, le règne de Marine Delettre, miss 2009 étant terminé.
Ce fut une soirée riche en couleurs, musique et paillettes, proposée au public, avec un défilé et un spectacle de qualité, sur le thème des rythmes brésiliens.
Cette année les candidates étaient au nombre de onze. Elles durent défiler en robe de cocktail, puis en maillot de bain et en tenue de soirée, tandis que les intermèdes étaient assurés par des danseuses brésiliennes, entraînant le public à danser sur les rythmes endiablés des sambas.
Le choix fut difficile pour les membres du jury qui mit plus d'une demie heure à départager les candidates, tant ces dernières redoublaient d'élégance et de beauté.
Finalement, passé minuit, Claude Pasbecq, organisateur de cette soirée annonçait les résultats.
Deuxième dauphine : Adeline Trioux, 19 ans, de Montdidier ; première dauphine : Lætitia Cosaert, 17 ans, de Cayeux-sur-Mer et enfin, miss Cayeux-Sur-Mer : Marie Beaulieu, 20 ans, de la région lilloise.
Très émue, cette dernière a remercié le public.
« Cayeux-sur-Mer est un lieu où j'ai très souvent passé des vacances. C'est pourquoi j'ai pris le risque de me présenter à cette élection, car j'aime cette ville du bord de mer et je suis fière de pouvoir la représenter », a-t-elle déclaré, avant de crouler sous la masse des cadeaux offerts par les partenaires et commerçants de la ville.
Marie Beaulieu est née le 15 juillet 1990 (c'était presque son anniversaire !) Elle fait des études d'esthéticienne et compte se consacrer, soit aux soins esthétiques, soit à l'art du maquillage.
Elle sera présente lors de la fête des fleurs, en août et très certainement également au 20e triathlon de la Baie de Somme, qui aura lieu à la fin juillet. La soirée s'est poursuivie tard dans la nuit au casino qui organise des soirées durant toute la saison estivale.
De notre correspondant FABRICE LAPORTE